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Temps de visite moyen par clic
Définition du temps de visite moyen par clic
Le temps de visite moyen par clic (en anglais, CPMC) est un indicateur de la valeur du clic à utiliser lorsque l’objectif ou un des objectifs est de renforcer le lien entreprise (ou marque)-consommateur, ou la proximité marque-consommateur.
Que représente le temps de visite moyen par clic ?
A partir du CPMC, il est possible de calculer le coût d’une minute de visite découlant de la campagne. Une fois ce calcul effectué se pose la question de la comparaison avec la valeur supposée d’une minute de visite qui reste actuellement inconnue.
La pratique majoritaire veut qu’une absence de consultation de nouvelle page sur un site dans un délai excédant 30 minutes vaut pour la fin de la visite. Cette valeur de 30 minutes va prochainement faire l’objet d’une recherche de la part du CESP. Aux Etats-Unis, ABC préconise d’abaisser ce seuil à 20 minutes, ce qui nous semble être une valeur encore excessive.
Nombre de pages consultées
Le nombre moyen de pages vues par clic est un indicateur précieux pour les sites qui se financent par la vente d’espaces publicitaires, tout simplement parce que la création de trafic est la source de leurs revenus, et que le prix de l’espace publicitaire sur chaque page est fonction de l’audience de celle-ci. Cet indicateur peut donc convenir pour mesurer les effets des campagnes de moteurs de recherche ou d’annuaires.
Cette mesure peut également renseigner l’annonceur sur le degré d’intérêt de l’internaute.
Hiérarchisation de la visite
L’annonceur peut procéder à une analyse des attributs de son site, des produits exposés, des bénéfices mis en avant. En effet, par l’interaction de l’internaute, il peut retracer le parcours des visiteurs, et ainsi évaluer l’importance perçue de certaines catégories d’informations.
Cependant, des expériences menées par D. Brinberg et Ackerman incitent à la prudence (cf Revue française du Marketing n°119, 1988) : au moyen d’un ordinateur, les interviewés devaient choisir un produit suite à une recherche d’informations par attributs sur plusieurs produits dans une même catégorie. Conclusion :
L’hypothèse selon laquelle l’ordre ou la fréquence d’appel des renseignements sur un attribut coïncideraient avec l’ordre d’importance dans le choix ne paraît guère vraisemblable.